Votre activité doit se développer comme il se doit. Pour cela, vous devez pouvoir compter sur vos collaborateurs, de tous vos services : administration, production, marketing, communication, etc. Lorsque ces derniers se mettent en arrêt maladie, c’est toute votre activité qui en pâtit, notamment si ces arrêts sont réguliers. Ces conséquences peuvent être dramatiques pour votre image de marque puisque votre activité est mise en standby, en attendant un remplaçant, voire plusieurs, en fonction du nombre de congés. Pour éviter les abus, vous pouvez compter sur des experts spécialisés dans le contrôle médical.
Limitez les abus
Dans le secteur privé, le taux d’absentéisme ne cesse d’augmenter. Pour lutter contre ce fléau, il est possible d’effectuer un contrôle pour maladie, par des médecins contrôleurs. De ce fait, si un arrêt n’est pas justifié, les expertises médicales réalisées liés aux maladies professionnelles et aux accidents de travail, vous permettront de contester les dossiers en question auprès de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. Avec l’accompagnement d’un médecin mandaté par Mediverif, les abus pourront être limités, ce qui reste un avantage certain pour votre entreprise et son bon développement. Ainsi, vous n’aurez plus aucun doute sur le bien-fondé d’un arrêt de travail.
Une contre-visite pour vérifier le bien-fondé de l’arrêt de travail
Les arrêts de travail abusifs coûtent une somme colossale aux entreprises chaque année, et ce, qu’importe leur statut. En effet, lorsqu’il y a abus de la part d’un salarié, de nombreux problèmes se mettent en route : paiement du complément de salaire, recherche d’un intérimaire/remplaçant, paye de ce dernier, sans oublier le manque de personnel qui entraîne une diminution de la production… C’est pourquoi, en cas de doute, vous pouvez, demander une contre-visite au domicile de votre salarié. Celle-ci sera effectuée sous 48 heures après réception de la demande. Le médecin établira un diagnostic pour justifier ou pas, l’arrêt de travail. Si votre employé est apte à reprendre le travail ou s’il refuse la contre-visite, vous pouvez cesser de lui verser son complément de salaire. C’est votre droit, sachez-le.